JÉSUS EST VOTRE VIEExemple

VOTRE OBÉISSANCE ENCLENCHE CELLE DES AUTRES

Mon ami(e),

Ralph Waldo Emmerson disait : "Ce que tu fais parle si fort que je ne peux pas entendre ce que tu dis." Nous avons parfois tendance à oublier Joseph lorsque nous parlons de la naissance de Jésus ! Pour autant, Joseph a joué un rôle important et crucial dans la réalisation de cette histoire divine.

"Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, Sa mère, était fiancée à Joseph ; or, avant qu'ils aient habité ensemble, elle se trouva enceinte par l'action du Saint-Esprit. Joseph, son fiancé, qui était un homme juste et qui ne voulait pas l’exposer au déshonneur, se proposa de rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, un ange du Seigneur lui apparut dans un rêve et dit : "Joseph, descendant de David, n’aie pas peur de prendre Marie pour femme, car l'enfant qu’elle porte vient du Saint-Esprit." (Lire Matthieu 1.18-20.) 

Mon ami(e), Joseph est inspirant car il est remarquablement simple dans son obéissance ! Joseph a payé un prix d’obéissance malgré les circonstances et ce qu’il devrait subir. En effet, Marie et lui n’étaient pas encore mariés... Mais il savait que les difficultés et les choix de sa fiancée dépendraient aussi des siens. Alors, si Marie a pu payer un prix si élevé par son obéissance, c’est aussi parce que son fiancé Joseph a fait sa part en obéissant fidèlement à Dieu. 

Joseph nous inspire à vivre une vie d’obéissance envers Dieu : 

• Malgré nos incompréhensions.
• Sans remettre à plus tard.
• Au milieu de la douleur.
• Malgré tout ce qui nous manque.
• En dépit de nos peurs.

Mon ami(e), célébrez le Roi des rois ! Noël est la fête de la victoire de l’obéissance sur la rébellion, sur la douleur, sur les peurs et sur les doutes. Noël, c’est se souvenir que "Dieu est avec vous". Alors, n’oubliez pas que votre obéissance n’est jamais vaine. Votre obéissance est une semence dont la récolte pourrait bien être l’obéissance de ceux qui vous entourent. 

Merci d’exister,

Aimons les gens jusqu’à ce qu’ils demandent pourquoi… et même après.

Bruno Picard